Cette somme représente le manque à gagner pour l’Etat par le jeu des niches fiscales accordées aux ménages, principalement dû à la refonte du barème de l’impôt sur le revenu, à l’exonération fiscale des heures supplémentaires et au crédit d’impôt sur la résidence principale (intérêts d’emprunt et dépenses en faveur des économies d’énergie). Les réductions d’ISF pour investissement dans les PME et le bouclier fiscal, très médiatisés, n’auraient coûté à l’Etat « que » 1 milliard et 580 millions d’euros respectivement.

Source : Challenges – Sept 2009 (lire la suite…)