L’histoire ne fait que se répéter : ces soldes de juillet 2012 me rappellent celles de janvier 2003…

« La bourse, c’est le seul grand magasin où en période de solde, il n’y a personne. »
Dixit Warren Buffett

En d’autres termes, quand les actions ne sont pas chères, personne n’en veut.
Et les investisseurs, c’est vous.

Je ne le dis pas trop fort, car c’est difficile de conseiller d’acheter quand on n’est jamais sûr d’avoir touché le plus bas, mais à plus long terme, je partage l’avis de ce fameux gérant : les risques sont très faibles.

Maintenant, vous avez le choix entre :

  • des obligations ou du monétaire qui rapportent 3%
    • et qui supportent des risques qu’il y a encore peu, on n’imaginait pas
  • et des actions qui rapportent 5% plus la croissance à venir des entreprises et de l’économie qui sera accélérée par l’inflation décidée par nos dirigeants pour résoudre la crise (il faut dire qu’ils n’ont pas trop le choix)
    • avec pour risque, la disparition fort peu probable de l’économie de marché.

Ce ne sera pas plus compliqué que ça
et surtout, cette situation n’a rien de nouvelle.
Les crises se succèdent pour diverses raisons, mais le résultat est toujours le même:
Beaucoup de perdants et quelques opportunistes.